Sébastien Roubinet se lancera en 2018 dans une troisième tentative de la traversée à la voile de l’océan Arctique. Au départ de Point Barrow en Alaska, il veut rallier avec son équipage l’archipel norvégien du Spitzberg, une route de 1700 milles qui passe par le pôle Nord.
Joseph Gagnon est un grand garçon discret de 19 ans qui ne parle pas fort, mais qui a de la suite dans les idées. Il est né dans une famille de Saint-Jean-Port-Joli qui carbure à l’eau de mer et où l’on ne semble pas s’étonner le moins du monde qu’il souhaite devenir le plus jeune rameur à traverser l’Atlantique en solitaire.
«Comme la plupart des rameurs océaniques, j’ai très peu d’expérience à la rame» explique Mahée Blais-Bernatchez. La chose est bien vraie, aussi étonnant que cela puisse paraître. Cette interprète en langue des signes de 28 ans originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu a décidé de faire le saut dans un canot à quatre pour participer à la Great Pacific Race en 2018.
On croirait l’objet sorti tout droit d’un film de Jacques Tati. On présentait au Salon nautique de Montréal en février dernier cette petite roulotte fabriquée à Kiel en Allemagne, sur les bords de la mer Baltique.
Depuis 10 ans, Atelier Nautique Richelieu a fait le pari de construire de petites unités classiques sur mesure ou en série limitée. Son dernier-né, le Richelieu 16, est inspiré d’un canot traditionnel breton
Design italien, emménagements confortables, grand cockpit, voilà le nouveau Gran Turismo 46 de Beneteau qui se manœuvre comme un charme, tout en ayant de la puissance à revendre.
Texte et photos d'Henri René de Cotret
Un dériveur d’initiation fabriqué au Québec, il y avait bien longtemps qu’on n’avait pas vu ça. Depuis la fermeture de Performance Sailcraft au Canada, pas un seul manufacturier n’avait manifesté l’intention de démarrer une chaîne de production. Roski Marine, division de Roski Composites basé à Roxton Falls, lançait l’hiver dernier ce dériveur de 11 pieds destiné au plus large public possible.
Texte et photos Michel Sacco
Ce vaste espace maritime, que l’on nomme indifféremment baie, rade ou golfe, représente en quelque sorte la démocratie nautique de Marseille. Jeunes et vieux, riches et fauchés, pescadous du dimanche et patrons-pêcheurs, plaisanciers de tout poil et régatiers professionnels, en passant par les pilotes du port de commerce, tous fréquentent la rade assidument pour satisfaire un mode de vie qui ne saurait se passer d’eau salée. La rade de Marseille est un art de vivre que chacun décline à sa façon.
Texte et photos de Michel Sacco
De 1934 et jusqu’au début des années 1950, les PCOD - Pointe Claire One Design - ont constitué une série monotype très active sur le lac Saint-Louis. Deux bénévoles membres du Yacht Club de Pointe-Claire, Robert Gallant et Richard Moore, ont restauré Jabberwock, la dernière unité en état de naviguer.
Texte et photos Michel Sacco
L’Escale Nautique est une publication indépendante qui sert le marché de la navigation de plaisance depuis 1995. Elle présente aujourd’hui le plus fort tirage payé de toutes les publications nautiques au Québec. L’Escale Nautique est distribuée à tous les membres de la Fédération de voile du Québec, ainsi qu’aux membres francophones des Escadrilles canadiennes de plaisance.
Le Guide du tourisme Nautique est un guide de navigation publié chaque année depuis 1997. Il s’agit à l’heure actuelle du guide de navigation le plus documenté des principaux plans d’eau du Québec, scrupuleusement remis à jour chaque saison.
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